Violence (LIBRE)

C’étais le matin … Déjà… J’avais passer la soirée a lire et remplir des papier, la routine de commandante je suppose ? Il me fallait prendre connaissance du plus de choses, me tenir au courant des potentiels incidents et autres malheurs que subissaient les citoyens de la cité. A mon plus grand malheur, beaucoup semblaient se plaindre de nous, « Comment ose ils ? » fut ma première réaction, après nous la garde royale avais prêter serment et chaqu’un d’entre nous étais la pour servir la couronne et protéger le peuple de la décadence, du crime et de la violence inutile. Mais je pouvais comprendre qu’on ne puisse pas être juste avec tous le monde, nous avions des lois et des principes qu’ils nous fallait appliquer « peu importe le rang ou la classe social » … Je sait que ces lignes du codes ne sont pas vrais, on privilégie bien plus les hautes classes sociales comme la mienne. Cela me désolé de me dire que je devais avoir été privilégier aussi mais je suppose que se sont sur ces bases qu’une société de doit de se construire. Je ne savais pas comment marcher les autres gardes et commandant mais en se qui me consternais je n’avais pas l’intention de faire de différence entre les classes sociales. Après tous, un meurtre est aussi grave qu’un vol qu’il vienne de la richesse et de l’aristocratie comme de la pauvreté.
J’avais quelques papiers parlant d’affaires de violences et de violes de la part de la noblesse, bien que sa ne m’enchante pas de me dire que j’étais du même rang que ces pourritures, cela ne me surprenait pas vraiment non plus. Les chats comme nous se crois généralement tous permis car ils sont nait avec une cuillère en argents dans la gueule, c’est pathétique, on ne devrais pas naitre avec un titre, on devrais le gagner comme on gagne son rang dans la garde, avec de la bravoure, de la loyauté et des capacité.
Je m’étire en rangeant et classants mes documents alors que le soleil matinal éclairais mon bureau de ces couleurs chaudes et si agréables qui me rappelais qu’on sortirais bientôt des temps froids. Une fois mes papiers ranger, je me plaça devants la grande fenêtre derrière mon bureau pour prendre un peu le soleil. Même un commandant avais le droit a un peu de repos, je m’étais endormie sur mes papiers sans que j’ai le temps de finir de tous consulté mais ma tête étais pleine de trop d’informations pour l’instant, il me fallait me détendre un peu. Je ronronna légèrement en sentant la chaleur du soleil chauffer mon pelage. Il n’y avais presque plus de neige et les fleurs allaient bientôt fleurir a nouveau pour nous donner un peu plus de gaitée dans la cité, ce qui ne serais pas de refus.

Je me retourna pour observer mon bureau, anciennement celui mon mon compagnon. Je n’avais pas eu le courage d’enlever toutes ces affaires, seulement les plus encombrante, ainsi il y avait encore a sa place les cadres photos et nous et nos enfants, les armes et armures qu’il avais entreposer et les documents que je venais de ranger. Je sentais cette tristesse me parcourir tendis que j’observais tous ces souvenirs appartenant a mon défin mari. Je ne pouvais plus rester dans cette pièce, je m’y ferais sans doute un jour mais je ne peu pas pour l’instant, j’occupais ce bureau depuis beaucoup trop peu de temps encore pour supporter la vue de toutes ces choses.

Ainsi, je sortie de mon bureau et marchas dans les couloirs sans but précis a part celui de me vider l’esprit.
Je croisa plusieurs membres de la garde, de mon régiment ou non d’ailleurs, mais peu importes qui ils étaient, tous me saluaient, me demandant même command j’allais parfois, sans trace amical, juste des paroles formelles et plaine de respect. Je leurs souriaient légèrement tous en gardant mon regard froid, ma tête et ma queux haute et ma démarche imposante tendis que mon armure sonnais a chaque mouvements d’épaule que je fessait, laissant entendre mon arriver de loin. Ce n’étais pas désagréable de se faire regarder avec tend de respect et parfois même de peur. Non pas que je veuille être terrifiante mais parfois, pour se faire respecter, il est nécessaire que l’on se face craindre.

« RAAAAAA ! »

Je me stoppa dans ma marche en entendants un cris de rage accompagner par se qui semblais être des armes de métal frappant un des nombreux murs de pierres bordants le couloirs.
Voyant que tous autour de moi s’étaient stoppé et semblaient regardé avec peur, haine ou jugement dans une seule et même direction. Fronçant du museau et des sourcils, je décida d’avancer dans la directions d’où se concentrais tous les regard.
Le cliquetis de mon armure étais le seule bruit résonnant dans le couloir plein de chats et de loup se demandant se qui se passais. Ainsi tous les regards allais de l’endroit d’où venais se cris de rage, jusqu’à moi et finirent vers le sol quand leurs regard croisaient le mien. D’un regard je les réduisaient au silence, leurs demandant silencieusement de retourner a leurs activité, ainsi la circulation dans les couloirs repris normalement tendis que je m’avançais lentement vers la chatte qui avais hurler plus tôt.
Bientôt je me retrouva face a une chatte de taille plus grande que moi aux couleurs inhabituels et somme toute peu naturel pour un chat ordinaire. On aurait cru le pelage d’un chat dessiner par un chaton d’a peine 5 lunes. Cela dit, il ne semblait pas que son mental et son habitude aille avec les couleurs roses et turquoises de son pelage, on aurais pus s’attendre a un mental mignon et gentil mais cela ne semblait pas être les principaux traits de cette femelle.
Bien qu’elle soit plus grande que moi, je m’efforça de me tenir droite et de la regarder avec mon habituelle froideur et mon détachement qui m’avais fait connaitre et respecter par les autres soldats.

« Regarde-toi. Tu a perdus contrôle. Ce n’est pas digne d’un membre de la garde royale. Si tu a besoin de te défouler, nous avons des criminels a chasser et a punir ou un camps d’entrainement si tu ne souhaite pas te salir les pattes, mais frapper les murs ne te mènera a rien, tu t’attirera le jugement de tes collègues, au mieux, mais si tu ne veut pas être vu comme une chatte sénile et infréquentable, c-o-n-t-r-ô-l-e   t-o-i »