Entrée des égouts - Comme dans un souvenir - Feat Haniel

Il était bientôt Minuit, cela m’arrivais de plus en plus de sortir de nuits pour aller ramasser mes herbes et autres plantes dont j’avais tant besoin pour exercer mon métier… Oui non car il me fallait bien de quoi vivre et les rares marchants vagabonds d’herbes et autres remèdes n’étais pas fiables. En effets il m’était parfois arriver a tomber sur quelques chats parlants « savamment », pour ne pas dire qu’ils déblatérais des termes techniques et scientifiques qui n’avais ni queux ni tête mis les uns a coter des autres, a de pauvres malades qui buvaient leurs paroles. Et bien sûr, comme ils avaient sans aucun doute bonne allure à en juger par leurs parfums fort d’eau de toilettes et leurs ton plein d’assurances, quels autres choix avaient ces pauvres ignorants des plantes que de le croire. Bien sûr, moi, a coter de lui, avec ma maigres allures, mon hygiène discutable, j’ai pas la possibilité de me laver tous les jours moi monsieur le charlatan, et mes baguages poisseux remplies de flaquons d’herbes et des choses étranges en tous genres, je n’avais aucun crédits. J’ai bien essayé de me faire entendre par ces malheureux mais ils ne voulaient rien savoirs, aussi je suis repartie, compatissant. Les pauvres n’avaient que des migraines et ce charlatan leurs avaient donner, a en juger par l’odeur du flacon qui leur avait vendus, des fleurs de valériane. Quel ignorant ! Tous bon herboriste qui se respectais savais que les seules parties utiles dans cette fleur étais celles cacher dans la terre. De plus, même si il leurs avais donner les bonnes parties, cette plantes n’étais qu’un sédatif, il n’étais pas sur que cela leurs faces passer leurs mal de cranes. Mais peu importe dans tous les cas, ils n’avaient même pas reçu les racines de cette plantes.
En réalité, c’était ça qui m’avais amené dans le foret cette nuit-là. En plus d’être presque sur que personne ne me poserais de question sur ma façon de marcher, de parler ou ne me dérangerais d’une quelqu’on que maniéré, les odeurs étaient bien plus perceptibles sans doutes l’agitation de la journée. En effet, je pouvais me concentrer sur mon odoras et presque en oublier mon ouï afin de trouver les fleurs que j’étais venus chercher, des camomilles. Contrairement a la valériane, la camomille avais bien des pouvoirs dont celui de soignée les mots de tête et les migraines, en souffrant moi-même, il était normal que je reface mes stocks en plus de prévoir les multiples utilisations que je pourrais en faire pour mes patients. Heureusement, ces fleurs avaient la particularité de pouvoirs pousser un peu partout, aussi, il n’a pas été très difficile d’en trouver malgré leurs odeurs plutôt discrètes, dont l’importance de venir la nuit une fois l’odeur des passants et des enfants joueurs passer et évaporé dans les airs. Malgré tous j’arrivais encore a distingué l’odeur de quelques louveteaux et chatons venus ici pour courir et s’amuser, sans doute jouaient ils aux gardes royaux et aux opposants. C’est si triste que de si jeunes enfants soit autant influencé par la société et qu’ils soient déjà persuadé de qui sont les gentils ou les méchants. Je soupire a l’idée. Si seulement il était aussi simple de définir la chose, tous n’est pas blanc ou noir, les nuances sont bien trop importantes a notre monde … Les nuances de couleurs de ce monde me manquent tant. Il étais bien rare que je voit le monde qui m’entoure, préférant garder les yeux fermer autan pour mon bien que pour ceux qui pourrais croiser mon regard, j’ai tend peur de ce que je pourrais faire au autres si je les regardais, c’est un peu comme si j’étais aveugles, mon odora, mon ouï et mon toucher me guide, même si la vu du soleil et de la lune me manque, je ne peut pas vraiment faire autrement et cela me va pour l’instant. Un jour peut-être, je me retirerais de la capitale, j’irais dans un endroit ou nul ne viendra, reculer du monde, sans voisin ni compagnon de voyage et la, enfin, je pourrais regarder le soleil se lever et se coucher tous les jours. Je pourrais regarder les arbres et les herbes se plier sous le vent, les feuilles et les pétales s’envoler pour poloniser d’autres terres. En plus de les entendre chanter, je verrais a quoi ressembles un oiseau ou tout du moins réapprendrais quel formes cela peu bien avoir.
Sur cette idée et cette vision idyllique de la vie, je plaçais les fleurs de camomille une a une entre les pages d’un épais livre que j’avais sur moi en permanence afin de commencer a les sécher et, une fois cela terminer, je m’en allait fredonnant gaîment un air connu.

La pluie avait commencé a tomber alors que je cherchais partout un endroit où m’abritais, malheureusement, je n’avais pas beaucoup d’abris dans les environs, il fallait dire aussi que je préférais garder mes quelques sous sur moi pour m’acheter un peu de nourritures au lieux de les gaspiller pour une nuit dans un endroit mal fréquenter ou je risquait de perdre quelques matériels. Aussi, et cela ne m’enchantais guère, la « meilleure » options s’offrant à moi n’étais autre que les égouts avec leurs odeurs désagréables et leurs potentiels maladies mortelles ? Quelle idée d’aller dans ces choses ? Aaah que ne ferais je pas pour une nuit tranquille … Bien que ça ne soit pas, et de loin, la meilleure idée que j’ai eu ce mois ci, de très loin même peut-être, je m’enfonçai dans la masse sombre qui s’offrait a moi. Chers habitant de ces poisseux et détestables égouts … Me voici … Vivement demain … Je me demande si j’arriverais même a fermer l’œil ici …  

Comme je le craignais, cela puait, je n’arrivais presque pas a me diriger dans un tel foutoir d’odeur. Je serais bien sortie et serais partie trouver un autre abri si mes sens n’étaient pas brouiller pas ces bruits infames et cette odeur autant voir plus désagréables que la cacophonie qu’il me fallait enduré depuis mon arriver dans ces stupides poubelles pour la plus basse classe et toute la misère de ce monde. N’arrivant plus a avancer sans manquer dans les vagues de défections a coter de moi, je décidais de m’arrêter là où je me trouvais. Quel plait, dormir dans des égouts, c’était bien la première fois que cela m’arrivait … de ce dont je me souvenais tous du moins. Ma mémoire n’était pas vraiment toute pleine si je puis dire. J’avais quelques absences et quelques problèmes a retenir les nom, visages, voix et odeurs en plus de mon incapacité a me souvenirs de la façons dont j’ai bien pus retenir toutes les vertus de toutes ces plantes, parfois j’ai peur de me tromper dans leurs prescriptions mais au final ma mémoire n’arrive jamais a me tromper sur ce sujets-là. C’est un bon point, voir un très bon point c’est certain, peut-être avais-je eu une éducation des plus stricts afin de ne pas oublier leurs utilisations ? Je ne savais pas vraiment. Avais-je vraiment envie de le savoir ? Bonne question, j’imaginais que si j’avais oublié tous cela, ce n’étais pas sans raison, je n’avais jamais essayé de retrouver mes parents ou mes amis d’avant. D’aussi loin que je me souvienne j’ai toujours été dans la rue à m’occuper des malades me tombant sous la patte et cela m’allais parfaitement, si il avais été décidé que je ne me souviendrais plus de mon enfance et de ce que je faisais avant, alors c’est qu’il devais y avoir une raison, mes absences et mes troubles de mémoires n’avaient aucune importance du moment que je mes plantes restaient dans mon esprit, c’est bien tous ce qui comptait. S-si jamais j’oubliais … si jamais mes plantes ne me revenaient pas en mémoire, si ‘oubliais leur utilité ou leurs noms, je crois bien que j’en mourrais. Je ne pourrais pas vivre sans elles. Elles étaient mon seul souvenir, mon seul vrai souvenir, je ne pouvais pas me permettre de les oublier. Sans elles, quel étais ma raison de vivre ?
Non ! Je ne devais pas penser à ça, j’avais pourtant l’habitude de rester positif quoi qu’il arrive, que m’arrivait-il aujourd’hui ? Je me secouais la tête afin de chasser ces idées sombre de mon esprit. Attend ! Une odeur faisait tache dans cet environnement. Je tournais la tête dans tous les sens afin de mieux sentir. Effectivement, une odeur plus florale s’emblais s’approcher de plus en plus bien que sa progression soit lente. Essayant de localiser la provenance de l’odeur, je marchai dans sa direction. Je ne savais pas à qui elle appartenais mais une personne possédant une telle odeur n’avais rien a faire dans un tel endroit. Oh non sa c’est sûr.
Une fois sur que l’odeur étais assez proche pour que la personne a qui elle appartenais soit a porter de vu et de voix, je pris un sourire rassurant et amical et dit d’une voix tous aussi amical et douce « Bonsoir »

« Bonjour a vous Haniel »

Cette salutation me stoppa net. Moi qui avais avancer tous naturellement vers l'odeur de fleur qui d’âpre moi n'avais rien a faire dans un endroit gâchant autans ce parfum délicat, je ne fit plus un pas. Je me redressa a l’arrêt, les oreilles en avant montrant ma surprise et perdants mon sourire pour le remplacer par une gueule fermer mais surfaite. Cette personne avais une voix féminine, douce et très mélodieuse, il étais agréable de l'écouter après avoir entendus pendants des jours des personnes malpolie et rustre, non pas que mes maniérés soit précieuses, loin de la, mais il étais agréable qu'on me parle sur un ton autre que le dédain. Ainsi en plus de me toucher par son attitude a mon égard de par son ton légé et ravi de ma présence, je l’étendis m'appeler par mon prénom. A part « escroc », « sorcier » ou « vagabond », surnom dont je m'étais accommoder avec le temps, je n'avais pas de souvenir proche de personnes m'appelant par mon prénom. Voir pas de souvenir du tous. Elle connaissait mon prénom. Ce simple mot de seulement … 1,2,3,4 … 6 lettres m'avais fait comme une claque de bonheur et de surprise. Où l'avais elle donc appris ? Avais elle entendus parler d'un chat maigre comme un mort marchand jusqu'à tomber de fatigue et sentant la terre et un mélange de pleins d'herbes qu'il transportais constamment avec lui ? Je ne sait pas mais il est vrai que, du moins d'après moi, mon nom n'étais pas inconnus des habitant de la villes et de ces alentours.
Sa voix me fessait plaisir. Un tel enthousiasme et des paroles portant autans d'agréables bonnes ondes et de douceur, j'aurais aimer qu'elle ne s’arrête pas de parler.

« Je suis heureuse de vous voir ici ce soir, cela fait si longtemps depuis votre dernière visite, comment allez vous? »

Vœu exaucer. Le sourire revint instantanément sur mon visage.
Une seconde « dernière visite ». Voila donc pourquoi mon nom ne lui étais pas inconnus. Étais ce pour cela qu'elle semblait si heureuse de me voir ? J'ai donc laisser une bonne impression a une de mes clientes. Bonne chose … Enfin si elle reconnais mon physique, ma voix ou mon odeur c'est qu'elle a étais frapper par ma visite ou l'une de mes visites car a l'entendre je lui en avais rendus plusieurs. Le vouvoient semble souligner que nous n’étions pas proche me réconfortant dans l'idée qu'elle fessait partie de mes clientes voir de mes clientes régulières car si non elle ne se serais pas appliquer a retenir mon nom ou a moi tous simplement. Pour que je la marque il a sans doute fallut que je soit important a un moment, sans doute un soutient non négligeable mais raaaaaaaaah. Cette odeur ne m'est pas familière pourtant. Certes elle sens bon mais, et pour ma plus grande honte et mon plus grand malheur, ce parfums me fait surtout penser aux basses ruelles où les parfums de fleurs étais l'un des prérequis afin d'avoir de quoi se nourrir. Mais une chatte aussi enjouer et douce ne ressembles en rien aux patientes que j'ai pue avoir dans ces genres d'endroits … Je crois. Ma mémoire me jouer bien plus de tour que je ne voudrais l'admettre. Surtout devants une personne semblant aussi heureuse de me voir. Pourquoi ma mémoire me fuit elle ?

« Je...Je m'en veux de vous demander cela, mais auriez vous eu des nouvelles de mes petits? Je ne peux pas vous dire le pourquoi du comment, mais je me suis retrouvée enfermée en prison et j'ai perdu contact avec ceux ci...
-Oh ... »

Je frotta mon mentons d'une griffe laissant tomber quelques poils originalement blanc mais que j'imaginais plus gris maintenant a cause des douches et des bains peu fréquents que je prenais, heureusement mes plantes me sauvais pour ne pas que je sente trop mauvais bien que « vagabond sans sous » soit écrit entre mes deux oreilles.
Si je ne me souvenais pas d'elle j'aurais du mal a me souvenir de ces petits mais le faite qu'elle en aie et qu'elle m'en parle comme a une personne extérieur me rassure au moins sur un point, ma mémoire n'est pas malade au point d'oublier une personne avec qui j'avais un lien intime... Enfin ce n'étais pas son cas.
A la façons dont elle en parle je déduit que ses enfants sont assez âgés pour s'asumé me confortant dans l'idée que si elle a été une de mes clientes c’était il y a plusieurs lunes, a croire que ma mémoire a une date de péremption bien précise !
Plus bas et semblant hésiter un moment, elle repris.

"Je...Auriez vous quelque chose à manger..Je...Je suis désolée, je n'ai rien mangé depuis plusieurs jours et..."

La coupant dans sa phrase, son ventre avais décider qu'il étais maintenant a son tour de parler. Sa gène que je pouvais sentis me fit sourire et je ne pue m’empêché de pouffer. Cette dernière phrase rendais la chatte des plus adorable bien que je ne doutais pas de son caractère des plus plaisant j'en étais sur.
Je penche la tête vers l'une de mes sacoches en cuir pendouillant sur mon flan et fouillant un peu dedans en souriant et repris d'un ton rassurant.

« Je suis avant tous toucher par l’intérêt que vous m'accorder madame, mes jours vont comme ils le peuvent. Mes plantes ne pouvant soigner la bêtise je fait de mon mieux pour économiser mes vivres car peu sont prêt a laisser un chat sentant la boue s'approcher de leurs étales, de peur que leurs précieuses victuaille ne soit contaminer par l'odeur. »

Je ris en pensant au dernier boucher que j'ai essayer d'aborder. Il m'avais jeter des os a la figure pour me faire déguerpir, je lui avais pris les petits os avec un sourire et l'avais remercier de sa gentillesse. Quel sot ! Il y a tend de bonnes choses dans les os !
Je trouve enfin le petit baluchon de tissus et de papier journal dans le quel j'avais soigneusement envelopper 4 pattes de lapin griller que j'avais réussi a avoir en échange de quelques herbes. Je ne les avaient pas entamer, préférant garder ma nourriture et aillant pour habitude de manger un repas tous les deux jours en moyenne. Mais en tend que médecins, je ne pouvais pas ignoré la détresse et la faim de cette chatte que je devinais aussi épuiser qu’affamée.
Fier de ma trouvaille, je lui dépose le petit paquet renfermant les 4 pattes devants elle en lui souriant. Mais avant qu'elle n’entame son repas je sort un petit couteau, un petit bol en terre et une racine de Konjac que je réduit en petits morceaux, les plus petits possibles en fessant presque de la poudre dont je me sert pour recouvrir une des pattes de lapin.

« Tenez Madame, je peut vous proposer de manger ceci et si vous le souhaitez vous pouvez aussi en prendre avec vous afin d'avoir quelques resserves si la faim vous prend encore. Ce que je viens d'appliquer et un coupe faim assez efficace. En gros cette petite poudre prendra de la place dans votre estomacs afin de vous donner l'impression d'avoir manger a votre faim. Comme vous n'avez pas manger depuis un moment il serais mal aviser de remplir votre estomacs avec des choses lourdes, cela lui donnera une mauvaise habitude, je doute que vous puissiez vous permettre un copier repas tous les jours. »

Je fini de lui expliquer avec le sourire rassurant qui ne me quittait pas en finissant de lui préparé une patte griller de lapin et en l’avançant devants elle, poser sur un bout de tissus afin d'éviter le contact avec la saleté du sol. Je lui tend également un bout de papier légé sur le quel j'avais pris le temps d’appliquer un liquide désinfectant pour ses coussinet si elle souhaitais les utiliser pour manger. Il serais dommage qu'elle tombe malade si son corps n'a pas pue se nourrir depuis plusieurs jours. Elle devais être faible.